Le Canada a importé 736 000 barils de pétrole par jour l’année dernière, 16 pourcent de plus qu’en 2014
Le réveil a de quoi être brutal pour tous les Canadiens qui souhaitent que les ressources énergétiques de notre pays alimentent advantage leur vie quotidienne.
5. Deux Canadiens sur trois appuient le Projet Oléoduc Énergie Est
Ce résultat de sondage arrive peu après un rapport de l’Office national de l’énergie qui montre que notre pays est de plus en plus dépendant des importations de pétrole étranger.
4. Les importations canadiennes de pétrole ont bondi de 16 pourcent en 2015 à 736 000 barils de pétrole par jour
Au prix moyen du baril l’an dernier, ce sont 35 millions de dollars qui quittent notre économie nationale – chaque jour – pour acheter du pétrole provenant des États-Unis, d’Arabie Saoudite ou du Nigeria. (Office national de l’Énergie – Aperçu du marché : Les importations de pétrole brut des États-Unis font bondir les importations pétrolières au pays)
3. Les raffineries de l’Est sont submergées de pétrole étranger
Nos importations de pétrole brut américain dépassent maintenant les 450 000 barils par jour – contre moins de 100 000 barils en 2010. Et l’Arabie Saoudite comble désormais plus de 10 pourcent de nos besoins d’importations de pétrole. 10 pourcent !
Cela signifie que notre pays est tributaire d’une nation du Moyen-Orient qui ne contrôle pas l’impact environnemental de sa production de pétrole au lieu de compter sur nos propres réserves au Canada – l’un des régimes réglementaires les plus strictes au monde. Cela n’a tout simplement pas de sens.
Alors, pourquoi sommes-nous dans cette position? Parce que notre pays ne dispose pas actuellement d’une infrastructure permettant de transporter, en toute sécurité, le pétrole de l’Ouest canadien vers les raffineries de Montréal, Québec et Saint-Jean.
2. Les Canadiens souhaitent choisir d’où vient le pétrole dont nous avons besoin
Le pétrole est un élément essentiel de notre vie quotidienne, pas seulement pour assurer nos transports, mais aussi parce qu’il est un composant clé dans des milliers d’articles sur lesquels nous comptons comme les téléphones cellulaires, les tablettes, les vêtements, les lunettes, le rouge à lèvres, les casques de ski, nos crayons, toiture et même les cœurs artificiels – Oui, les cœurs artificiels.
Nous avons un choix important à faire. Ce choix est de savoir où nous souhaitons nous approvisionner en pétrole et comment nous choisissons de le transporter. Énergie Est est un projet plein de bon sens et c’est pour cela que 59 pourcent des Canadiens pensent que le pipeline sera finalement construit, selon le même sondage Angus Reid. 59 pourcent.
1. Nous voulons poursuivre le dialogue sur Énergie Est
Le sondage montre également quelques différences dans le niveau de soutien en fonction des régions. Neuf personnes sur 10 appuient Énergie Est en Alberta alors que seulement un Québécois sur deux soutient le projet.
Beaucoup aux Québec voient de plus en plus les avantages d’Énergie Est mais ils veulent s’assurer que le projet se fasse d’une manière qui préserve l’environnement. Nous sommes entièrement d’accord.
C’est la raison pour laquelle nous allons continuer notre dialogue – avec les résidents locaux, les communautés des Premières nations et les élus – pour concevoir Énergie Est de la manière la plus sécuritaire qu’il soit, en tirant parti de notre expérience de 60 ans, des centaines d’études de terrain que des spécialistes ont menées, et des commentaires précieux que nous avons reçus sur le terrain.
Faites entendre votre voix sur cet important projet d’infrastructure canadien en nous contactant ici.
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